Pierre-Yves Mathieu
Pierre-Yves Mathieu
Vous présentent les oeuvres exposées lors de leurs visites à la Chapelle de Ranchot:
En quelques mots…
De l’île de Ranchot à la grande île rouge, des bords du Doubs à ceux de l’Océan Indien; du Canal du Rhône au Rhin à ceux du Mozambique et des Pangalanes, la comparaison est démesurée.
C’est pourtant ce grand écart qui s’illustre dans ces images, comme celui qui s’est opéré dans mon travail, me portant de l’argentique noir et blanc (que j’ai exposé pour la première fois en 1985, et la dernière fois en 2011) vers le numérique en couleur, que j’exposerai pour la première fois le 13 mai à la chapelle de Ranchot.
Clichés réalisés aux bords du Doubs et à Madagascar, imprimés sur papiers musée Rag Velvet ou Hahnemühle Fine Art, papiers pur coton sans acide, grâce à des encres pigmentaires, pour une pérennité garantie de plus d’un siècle.
L’île où je vis entre Doubs et canal sur la commune de Ranchot, et Madagascar que j’ai fréquentée pendant plus de deux mois, résonnent sous le même ciel, chacune dans leur hémisphère. Quelle sagesse !
Pourquoi les insulaires de l’hémisphère nord sont-ils si agressifs et méfiants, et ceux de l’hémisphère sud si sensuels et accueillants ?
Vous direz que je ne suis pas avare de clichés. Ça tombe bien !
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